Le jésuite François collabore au projet de religion mondiale

.

« Un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine ; mais ils se donneront une foule de docteurs, suivant leurs convoitises et selon que leurs oreilles en seront chatouillées ; ils les fermeront à la vérité pour les ouvrir à des fables. » (Ep. de saint Paul à Timothée II, 4)

En février 2019, François s’est rendu à Abu Dhabi pour y préparer une prochaine étape de la future religion mondialiste. A cet effet, il a signé un document de travail avec le grand imam d’Al-Azhar, Ahmad Muhammad Al-Tayyib, considéré comme l’un des clercs sunnites les plus libéraux en Egypte.

Il y est écrit que « la sagesse divine est la source du droit à la liberté de croyance et à la liberté d’être différent ». Traduction : selon Fr.News : « Cela signifie que François considère les rituels de sacrifice humain aztèques comme une religion selon la volonté de Dieu ainsi que l’islam ou le judaïsme qui contredisent explicitement l’Eglise en ce qui concerne la Trinité et la divinité du Christ. »

Par la suite, les Emirats Arabes Unis ont décidé de mettre en place un haut comité interreligieux destiné à promouvoir les idées antichrétiennes contenues dans le Document de la fraternité humaine signé par François.

On y trouve l’affirmation hérétique que toutes les religions, bien qu’elles se contredisent, sont « voulues par Dieu ».

Etape suivante, le Vatican a précisé que ce comité avait pour tâche de « promouvoir et de mettre en œuvre le document au niveau national et international, même dans les législations ».

Quels en sont ses membres ?

– Mgr Miguel Ángel Ayuso Guixot, Président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux

– Mohamed Hussein Mahrasawi, Président de l’Université Al-Azhar

– Monseigneur Yoannis Lahzi Gaid, secrétaire personnel de François.

.

Rappelons que la liberté religieuse fut condamnée par le pape Grégoire XVI (1830-1846) dans l’encyclique Mirari vos du 15 août 1832, puis par le pape Pie IX (1846-1878) dans l’encyclique Quanta cura du 8 décembre 1864.

Constitution pastorale DC n° 2375, p. 214-215] :

« …Léon XIII l’enseigne clairement : ‘‘Si l’intelligence adhère à des idées fausses, si la volonté choisit le mal et s’y attache, ni l’une ni l’autre n’atteint sa perfection, toutes deux déchoient de leur dignité native et se corrompent’’[1]. Or, pour atteindre cette perfection, qu’elle ne possède pas originellement, aussi bien dans l’ordre naturel que dans l’ordre surnaturel, la personne humaine, étant celle d’une nature politique, doit être soumise à des lois, celles de l’Etat et celles de l’Eglise.

Certes, la personne humaine n’est pas totalement soumise à l’Etat, au sens où elle lui est directement sujette seulement au for externe public, non au for interne, ni au for externe privé. Mais il reste toujours nécessaire et légitime que l’autorité intervienne pour empêcher l’expression publique de l’erreur et du mal, afin de préserver la dignité complète de l’homme, car cela est requis par la nature même de l’homme : ‘‘Il n’est pas permis’’, dit encore Léon XIII, ‘‘de mettre au jour et d’exposer aux yeux des hommes ce qui est contraire à la vertu et à la vérité, et bien moins encore de placer cette licence sous la tutelle des lois’’[2].

C’est pourquoi, on ne peut pas fonder un droit à la liberté religieuse sur la dignité d’une personne humaine restreinte à son seul être de nature raisonnable, indépendamment de son agir. »

[1] Léon XIII, Encyclique Immortale Dei, dans Enseignements Pontificaux de Solesmes, La Paix intérieure des nations, N°149.

[2] Voir note précédente.

.

SOMMAIRE DE LA LETTRE CONFIDENTIELLE LIESI

 

SOMMAIRE DE LA LETTRE  LISO

 

SOMMAIRE DE LA LETTRE DES PROPHETIES

.

https://www.liesi-delacroix.eu/

.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *