Sœur Lucie de Fatima : la Russie sera l’instrument choisi par le Ciel pour punir le monde entier

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Le troisième secret n’est pas encore révélé.

“Père, combien de jours reste-t-il avant l’arrivée de 1960 ? Ce sera une année très triste pour tous, personne ne pourra éprouver de joie si le monde ne prie pas et ne fait pas pénitence. Je ne peux pas donner plus de détails, car c’est encore un secret. Selon la volonté de la Sainte Vierge, seuls le Pape et l’évêque de Fatima sont autorisés à connaître le secret, mais ils ont préféré ne pas le connaître pour ne pas être influencés. Il s’agit de la troisième partie du message de la Vierge, qui restera secrète jusqu’en 1960”.

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La Russie, fléau de Dieu

“Dis-leur, Père, que la Sainte Vierge a dit plusieurs fois, à mes cousins Francisco et Jacinta et à moi-même, que beaucoup de nations disparaîtront de la surface de la terre. Elle a dit que la Russie sera l’instrument choisi par le Ciel pour punir le monde entier si nous n’obtenons pas d’abord la conversion de cette pauvre nation“.

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La “bataille décisive” entre Marie et Satan : la chute des âmes consacrées et des prêtres

Sœur Lucie m’a dit : “Père, le diable est sur le point d’engager une bataille décisive contre la Sainte Vierge. Et le diable sait ce qui offense le plus Dieu et ce qui lui rapportera le plus d’âmes en peu de temps. Le diable fait donc tout pour obtenir le plus d’âmes consacrées à Dieu, parce qu’il sait qu’ainsi, les âmes des fidèles, laissées sans guide, tomberont plus facilement entre ses mains.”

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“Ce qui offense particulièrement le Cœur Immaculé de Marie et le Cœur de Jésus, c’est la chute des âmes des religieux et des prêtres. Le diable sait que pour chaque religieux ou prêtre qui renie sa sainte vocation, de nombreuses âmes sont entraînées en enfer… C’est pourquoi le diable aspire à s’emparer des âmes consacrées. Il tente par tous les moyens de les corrompre, d’engourdir l’âme des fidèles et de les conduire à la pire impénitence. Il use de toutes sortes de ruses, allant jusqu’à suggérer de retarder l’entrée dans la vie religieuse. D’où la stérilité de la vie intérieure et, chez les laïcs, la froideur (le manque d’enthousiasme) face à la perspective de renoncer aux plaisirs terrestres pour se consacrer totalement à Dieu”.

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