Apprendre de l’histoire afin de savoir ce qui nous attend

Vous apprendrez beaucoup en lisant cet article traduit. Car il ne faut pas être naïf. La faillite des nations, voulue par ceux qui les dirigent, sera assortie de mesures confiscatoires qui sont déjà dans les tuyaux… Nous avions prévenu de tout cela, mais combien ont pris nos avertissements au sérieux ? Maintenant les carottes sont quasiment cuites car la faillite de la France, de l’Allemagne, de l’Angleterre et des Etats-Unis devient une évidence ; seule l’illusion permet aux “idiots utiles” de continuer à danser alors que le Titanic coule. Toutes les explications sont quotidiennement explicitées sur le site privé Gladio Veritatis et bien d’autres choses sont maintenant sur le point de survenir “grâce” au CLIMAT. Et nous n’abordons même par la prochaine pandémie qui sera dévastatrice. Abandonnez la TV Pravda de 2024. De plus en plus, les sources d’information sont privées pour être bien informés et qu’en dire de l’analyse ? C’est une très bonne chose car chacun reste ainsi “libre”.

Par Brent Johnson de Santiago Capital – Tout au long de l’histoire, les gouvernements du monde entier ont parfois eu recours à la confiscation des actifs de leurs citoyens en réponse à des crises économiques, des purges politiques ou des poursuites idéologiques. Ces actions, souvent justifiées comme étant nécessaires pour le bien commun, ont souvent entraîné des perturbations sociales généralisées et des difficultés considérables pour les populations concernées.
Ce rapport se penche sur quatre épisodes historiques importants de confiscation d’actifs, en examinant les méthodes utilisées par les gouvernements pour saisir les biens et les diverses stratégies employées par les individus et les communautés pour résister à ces confiscations ou s’y soustraire. Chaque cas donne un aperçu de la relation complexe entre le pouvoir de l’État et les droits de propriété personnelle, ainsi que de la résilience de l’esprit humain face à l’adversité.

1) L’un des exemples les plus notoires de confiscation d’actifs s’est produit en Union soviétique sous la direction de Joseph Staline.

Dans le cadre de ses efforts pour transformer l’économie soviétique et éliminer toute opposition potentielle, Staline a lancé des campagnes de collectivisation et de dékoulakisation. Le gouvernement a regroupé de force les propriétés foncières individuelles dans des fermes collectives (kolkhozes) et des fermes d’État (sovkhozes), en saisissant les terres, le bétail et d’autres biens de la paysannerie.
Les agriculteurs les plus riches, connus sous le nom de koulaks, étaient particulièrement visés en tant qu’ennemis de classe. Les méthodes de confiscation étaient dures et systématiques, allant de la collectivisation forcée à la saisie des céréales et du bétail.
Malgré la brutalité de ces mesures, de nombreux paysans se sont engagés dans des actes de défiance. La résistance a pris diverses formes, notamment la dissimulation de céréales et de bétail, le sabotage des efforts du gouvernement et la fuite vers les zones urbaines à la recherche d’un refuge.

2) On peut établir un parallèle avec la révolution culturelle chinoise, qui s’est déroulée de 1966 à 1976.

Au cours de cette période, le gouvernement du président Mao Zedong s’est efforcé d’appliquer des politiques socialistes radicales, ce qui s’est traduit par une confiscation généralisée des biens, en particulier ceux des intellectuels, des propriétaires terriens et de ceux qui étaient accusés de véhiculer des valeurs bourgeoises. La révolution culturelle, menée en grande partie par les gardes rouges de Mao, a été une période d’immenses bouleversements sociaux, caractérisée par des dénonciations publiques, des saisies de biens et l’internement dans des camps de rééducation de ceux qui étaient perçus comme des ennemis de l’État.
Les stratégies les plus courantes consistaient à cacher les biens de valeur, à falsifier les documents pour en dissimuler la propriété et à s’appuyer sur des réseaux de soutien informels pour protéger les biens. Malgré l’atmosphère de peur et de persécution omniprésente, ces méthodes ont permis à certains de mettre leurs biens à l’abri du regard implacable de l’État.

3) Un autre chapitre sombre de l’histoire est celui de la politique d’aryanisation de l’Allemagne nazie, mise en œuvre entre 1933 et 1945 sous le régime d’Adolf Hitler.

L’aryanisation visait à transférer systématiquement les entreprises et les biens appartenant à des Juifs entre les mains de citoyens “aryens“, privant ainsi les Juifs de leur pouvoir économique et de leur richesse.
Le gouvernement nazi a utilisé toute une série de tactiques pour faciliter ce transfert, y compris des décrets légaux qui forçaient la vente des biens juifs à des prix considérablement réduits, ainsi que de violents pogroms qui terrorisaient les communautés juives et les forçaient à fuir. Dans ce contexte de coercition et de violence, de nombreuses familles juives ont cherché à protéger leurs biens en transférant des fonds et des propriétés à l’étranger, en cachant des objets de valeur ou en organisant de faux transferts de propriété à des personnes non juives de confiance.

4) Aux États-Unis, la confiscation de l’or par le gouvernement en 1933 offre un contraste frappant avec les confiscations plus ouvertement idéologiques ou ethniques des régimes soviétique, chinois et nazi.

Pendant la Grande Dépression, le président Franklin D. Roosevelt a mis en œuvre une série de politiques visant à stabiliser l’économie, dont l’une était la conversion forcée de l’or détenu par les particuliers en papier-monnaie. Cette mesure était destinée à lutter contre la déflation et à restaurer la confiance du public dans le système bancaire, mais elle représentait également une intrusion significative dans les droits de propriété personnelle des citoyens américains.
En vertu du décret 6102, les particuliers étaient tenus de remettre leurs avoirs en or au gouvernement en échange de monnaie fiduciaire, sous peine de sanctions financières, voire d’emprisonnement, pour ceux qui ne s’y conformeraient pas.
Si de nombreux citoyens se sont conformés au décret, un certain nombre d’entre eux ont eu recours à diverses tactiques pour éviter de remettre leur or. Ils ont notamment dissimulé leur or, exploité les vides juridiques permettant certaines exemptions, stocké leur or sur des comptes offshore et participé au marché noir ou à des systèmes de troc.

Conclusion

Chacun de ces épisodes historiques de confiscation d’actifs souligne les extrêmes auxquels les gouvernements sont prêts à se livrer dans la poursuite d’objectifs politiques, économiques ou idéologiques.
Qu’elles soient motivées par la nécessité de consolider le contrôle politique, de redistribuer les richesses pour atteindre des objectifs idéologiques ou de stabiliser une économie au bord de l’effondrement, les actions de ces régimes ont entraîné de profondes perturbations sociales, une dévastation économique et des souffrances humaines généralisées.
Dans chaque cas, l’intervention de l’État – par le biais d’une confiscation agressive des actifs – a creusé le fossé entre les gouvernements et leurs citoyens, intensifiant souvent le ressentiment et conduisant à des actes de défiance. Le bilan humain ne s’est pas limité aux pertes financières ; des communautés entières ont été déstabilisées, des moyens de subsistance détruits et des structures sociétales bouleversées, tout cela dans le cadre de la poursuite de ces programmes gouvernementaux ambitieux.
Pourtant, malgré la dureté de ces mesures, ces épisodes mettent également en lumière l’extraordinaire résilience et l’ingéniosité d’individus et de communautés déterminés à protéger leurs biens et leurs moyens de subsistance. Face à des chances écrasantes et à une application souvent brutale de la loi, les gens ont imaginé des méthodes de résistance créatives. Qu’il s’agisse de dissimuler des biens de valeur, de tirer parti de lacunes juridiques, de former des réseaux clandestins ou d’échapper à des régimes oppressifs, ces actes de défi mettent en évidence l’instinct de survie fondamental de l’être humain.
La capacité à s’adapter et à s’opposer au contrôle écrasant de l’État témoigne d’une profonde détermination à conserver son autonomie, même dans les circonstances les plus oppressantes.
En réfléchissant à ces événements historiques, nous obtenons des informations précieuses sur l’équilibre délicat entre l’autorité de l’État et les droits de propriété individuels. Ces cas de confiscation d’actifs révèlent les vulnérabilités de la propriété pendant les périodes d’instabilité politique et économique, soulignant la nature précaire de la richesse personnelle lorsqu’elle est confrontée à un pouvoir gouvernemental incontrôlé.
Plus important encore, ils rappellent durablement la capacité de l’humanité à résister, à s’adapter et à recouvrer son autonomie face à une adversité écrasante. En fin de compte, ces épisodes renforcent l’importance cruciale de la sauvegarde des droits et des libertés individuels, même face à la force apparemment invincible de l’intervention de l’État.

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SOMMAIRE DE LA LETTRE CONFIDENTIELLE LIESI

SOMMAIRE DE LA LETTRE  LISO

SOMMAIRE DE LA LETTRE DES PROPHETIES

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